📰 Condamnation de Nicolas Sarkozy : Son bracelet électronique retiré après trois mois de télétravail judiciaire
Sarkozy libéré : fin de la saison 1 de « Prison Break – Version Sénior »
Paris, 15 mai 2025. Après 96 épisodes de suspens intense, un GPS capricieux et plusieurs alertes chaussettes sales, le bracelet électronique de Nicolas Sarkozy a officiellement été retiré. L’ancien président a désormais recouvré la liberté, à condition de ne pas passer plus de 15 jours sans envoyer un SMS au juge. C’est ce qu’on appelle la liberté sous conditions… Wi-Fi.
« C’est un soulagement, maintenant je peux courir après Carla sans bip bip dans le salon », aurait confié Nicolas, en repositionnant ses mocassins JM Weston.
Une libération millimétrée : entre droit pénal et droit à la sieste
Selon nos sources (la boulangère du 16e et un mec chelou sur Twitter), Nicolas Sarkozy aurait porté son bracelet comme une Apple Watch pour boomer, capable de mesurer l’ironie ambiante et les déplacements entre le salon et le bureau.
Le dispositif, installé depuis le 7 février, lui permettait de sortir entre 8h et 20h, et jusqu’à 21h30 certains jours – coïncidant curieusement avec les Happy Hours du bar « Chez Takfir le Libyen ».
📝 Rappel : à 70 ans, on ne dit pas incarcéré, on dit « géolocalisé avec options confort ».
Un bracelet connecté à la justice… et au groupe WhatsApp “République Impliquée”
Petit bijou de technologie judiciaire, le bracelet de Nicolas était directement relié au Système Automatisé de Probation et d’Évitement des Corrompus (SAPEC). Il vibrait dès qu’un juge d’instruction s’approchait à moins de 500 mètres ou quand Patrick Balkany envoyait un emoji 🍷.
Et bien sûr, il était interdit de voyager à l’étranger sans autorisation. Une contrainte insupportable pour un homme qui avait l’habitude de serrer des dictateurs à travers le monde avec la même intensité qu’un fan devant Céline Dion.
Sarkozy : « Je suis libre… comme l’air fiscal à Neuilly »
Citation exclusive : « Maintenant que j’ai plus ce truc à la cheville, je peux ENFIN me gratter sans alerter le parquet », a déclaré Sarkozy à notre micro imaginaire.
Son entourage précise qu’il travaille déjà “activement à son bureau”, comprenez par là : ranger ses légions d’honneur, répondre à Zemmour sur WhatsApp et effacer des mails avec l’objet “Kadhafi – à ne pas ouvrir”.
– Ce qu’il s’est vraiment passé
Nicolas Sarkozy a bénéficié d’une libération conditionnelle anticipée
Condamné en décembre 2023 à un an d’emprisonnement ferme avec bracelet électronique dans l’affaire dite « des écoutes », l’ex-président Nicolas Sarkozy a entamé sa peine le 7 février 2025. Âgé de 70 ans, il a pu légalement solliciter une libération conditionnelle anticipée, ce qu’il a fait le 16 avril.
Le juge d’application des peines (JAP) a validé cette demande le 12 mai, considérant que la demande respectait les critères prévus par la loi. Son bracelet lui a donc été retiré le 14 mai, après trois mois de surveillance électronique.
Un cadre strict : autorisations nécessaires pour tout déplacement
Sarkozy reste soumis à certaines obligations :
- Obtenir l’accord du juge pour toute absence supérieure à 15 jours
- Ne pas quitter le territoire sans autorisation
- Se présenter aux convocations du JAP
- Accepter les visites du service pénitentiaire d’insertion et de probation
Cette mesure est « strictement conforme à la loi », selon son avocate Jacqueline Laffont-Haïk.
Et maintenant ?
L’ex-président reste impliqué dans l’affaire du financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007. Le procès s’est achevé le 8 avril 2025, et le jugement est attendu pour le 25 septembre.